• Chandelle

    Para

    pluie, gouttes et sécheresse 

    J'essore mon coeur à coup de c'est pas grave, j'enterre la peur

    à coup de on verra plus tard

    Y a jamais d'instant pour arrêter de vivre

     

    Soupirs, sourires sou

    venirs qui va viennent, rient ne sont que de passage, pleurent et se déchirent

    Avions qui volent,  papier quadrillé qui traverse demain

    attrape ma main, au son des violons

     

    Tout a une fin mais tout n'est rien, l'infini s'arrête,

    parce qu'il a mis une ligne, parce qu'une feuille a sa longueur sa largeur et rien d'autre

    Tours de pise et panique qui frise

    Toujours qui s'arrête et pourtant on avait dit jamais

    Sont-ce des mensonges ou des vérités éphémères ?

     

    Où tu vas comme ça ? Personne n'en sait rien

    Chandelle qui s'éteint ; pour une autre qui se rallume 

    Danse danse danse et écris-moi que rien ne s'en va

    Silence et fracas puisque rien 

    ne se fige.

     

    Maéli

    « Tam tam tamNuit »

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