• Si j'avais su te dire d'où je venais, où j'allais. 

    Si j'avais su te dire que nos destinées étaient si liées que la poussière des étoiles unissaient nos songes. 

    Le temps frappe des mains et le sable vole dans l'air ; les femmes dansent, les lumières clignotent. Ton coeur bat dans mes mains. 

    La joie éclate dans nos coeurs, et je m'éloigne de tout cela. De ce monde où l'horizon se dessine, se floute, où l'horizon, pareil à l'océan, gronde et se remodèle le lendemain matin. Ce monde où jamais l'on n'atteint l'horizon. 

    Si seulement, j'avais pu te promettre, mon coeur, que je serras toujours à tes côtés. Je t'aime tant, que je le souhaite et le liberté se déchaîne dans ma cage thoracique. Mon amour, je suis un paradoxe au milieu du temps, une aiguille d'horloge qui se balance sans pouvoir prendre une direction. 

    Où es-tu à cette heure-là ? Tu me sembles bien loin déjà.

    Je m'en vais te retrouver, me retrouver ; nous retrouver.

     

    Maéli

    « Je t'aimeN'oublie pas d'où tu viens »

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