-
Temps
Le temps court, le temps fil et s'effile entre nos doigts innocents
le sang marque nos mains de ses traits indélébiles
T'en va pas pourquoi tu cours où tu vas comme ça ?
Un pas et des milliers de portes qui s'ouvrent, le sable frotte mes pieds les caresse je m'enfonce je traverse
des rivières des marées des océans ; à tes côtés.
Rien n'est pareil tout est différent chacun de tes instants me transforme me transperce se déverse en moi et le manque n'existe plus parce que rien n'est fini nan rien n'est fini
Une partie se termine mais dix nous attendent ; on n'a qu'une vie mais des millions de secondes, des millions de cellules, des millions d'idées et de tiroirs pour les ranger, pour leur faire passer le pont des pensées à la réalité
Des étoiles filent filent et rien ne les arrête, tout est tourbillon et nous emmène dans sa danse ;
il pleut et des sourires sont tombés du ciel.
Rien n'est fini, tout vient à peine de commencer
et le meilleur reste à venir.
Maéli.
De retour !
Jusqu'à la rentrée, je ne pourrai pas écrire au même rythme que d'habitude, mais dès lundi, c'est reparti comme avant !
-
Commentaires
Cool de te relire, et ça (re)commence plutôt bien, joli scintillement.