• Sans titre

     Nos coeurs vibrent ; l’horizon est une corde de guitare et le vent souffle sa mélodie

    Il y a un feu dans ma cage thoracique qui dit à mes deux bras qu’il veut s’envoler, qu’il faut s’élever au-dessus de la médiocrité ambiante si l’on ne veut pas se faire écraser

    Le monde est un trésor ; une toundra désertique et brûlante. Le monde est aride et sec sous la langue et quand on le retourne, la douceur nous emplit ;

    comme une richesse qu’on nous aurait cachée

     

    Il faudrait deux ou trois ans pour faire le tour d’une journée et l’aiguille tourne dans son cadran ; elle fait la mesure et compte les temps

    Je me sens comme dans un match de foot où il faut compter les points ; et pourtant il n'y a pas de récompense à la fin 

     

    Maéli

    Griffoné 

    « Qui parle deLettre à une braise qui s'essoufle »

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